Divorce en Suisse : 90 % des divorcés le font « à l’amiable » !
Il y a vingt ans et quelques, le législateur Suisse a si bien simplifié et standardisé les règles juridiques du divorce, qu’on peut aujourd’hui, en Suisse, obtenir son divorce en un trimestre, sans devoir passer par des avocats et en n’ayant à payer que des droits de greffe ! Il suffit d’opter pour le « consentement mutuel » ou divorce d’un commun accord, et pour mieux dire « à l’amiable ».
Divorcer par consentement mutuel est le choix majoritaire des suisses !
D’ailleurs, les suisses ont très bien compris l’intérêt de cette façon de procéder : aujourd’hui 90% des gens divorcés en Suisse, l’ont fait par consentement mutuel ! Il faut dire aussi que comme la notion de « faute conjugale » ne compte plus (on ne parle pas ici de délits pénaux), aucun époux ne peut espérer « tirer avantage » de son divorce. En général ceux qui optent pour une procédure classique le font contraints et forcés par un conjoint qui refuse le divorce, ou parce que les enjeux patrimonieux sont trop gros et/ ou trop complexes pour une procédure « allégée ».
Une convention de divorce à remplir…
On l’aura compris, le coût d’un divorce suisse n’est pas du tout le même si la procédure est classique ou à l’amiable. A l’amiable, le couple peut constituer seul (sans avocat) le dossier à soumettre au juge ! Il lui suffit de trouver des terrains d’entente équitables pour la répartition des biens, l’attribution du domicile conjugal, la garde des enfants, etc, et de les consigner dans sa convention de divorce suisse ! Pour ce faire, il peut se faire accompagner en ligne, par le site https://divorce.ch/ !